La colère gronde.
Tous les salariés, tous les personnels sont excédés par les mesures d’exception prises par le gouvernement au nom de l’état d’urgence qui n’a de sanitaire que le nom.
Le gouvernement s’est donné les pleins pouvoirs pour imposer des conditions d’une « reprise » au service d’un objectif : précipiter la destruction des services publics, généraliser la déréglementation et préparer la privatisation.
La Commission Exécutive Fédérale (CEF) de la FNEC FP-FO exige la levée de l’« état d’urgence » et le rétablissement des libertés que l’on nous a confisquées, à commencer par le droit de nous réunir.
Retrouvez le communiqué de presse d’Yves Veyrier. ICI